Daudet. Lettres de mon moulin
Ca fait déjà longtemps, même trop, étant donné que si je ne suis pas chauve au moins mes cheveux grissaillent sur ma tête, qu'un jour j'eus l'cccasion de lire ce charmant bouquin pour la première fois. Je suppose que cela serait pour mon apprentissage du francais dans une école où ma memoire m'a laissé le souvenir de murs de briques comme celles d'une caserne ou des classes obscures et un ciel la plupart des jours de plomb, un crucifix et les photos d'un souriant roi Baudouin et la reine Fabiola, ma compatriote, tandis que je commencais à faire mes premières découvertes des auteurs qui m'ont toujours touché.
Une fois encore, je me retrouve avec Alphonse Daudet et les Lettres de mon moulin, livre qui me plonge dans un francais d'un langage précis, tout lumière, où le soleil et la Meditérranée plongent dans son accent provencal et où les histoires qu'il nous raconte, pleines de vivacité, sympathie, humour nous retrouvent avec un passé enfantin, de liberté et de jeux.
La diligence de Beaucaire, le secret de Maître Cornille, la chèvre de M. Seguin, l'Arlesienne, la mule du pape, le Curé de Cucagnan ou le portefeuille de Bixiou, son toutes des histoires ou des fables avec un récit qui cache toute une lecon de vie.
Que dire des trois messes basses, des deux auberges ou du récit sur les vieux, lus en francais, non seulement arrivent à m'attendrir de nouveau, si non à me rendre compte l'importance des valeurs humains transmis dans une autre belle langue de racine latine, mas avec un profond respect pour les sentiments et les valeurs humains et l'amour pour un coin de la France, sa Provence natale. La patrie aussi de son ami Mistral, des leiux comme Avignon, la Camargue ou le Sud, toujours le Sud.
La manière de décrire, les adjectifs employés et les histoires, sont un trésor que comme Don Quichotte, le Nouveau Testament, vaut la peine se rencontrer plusiers fois dans la vie pour jouir dans un monde de lettres, pleines de lumière et de tendresse.
sábado, 31 de octubre de 2015
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