KNOCK, DE JULES ROMAINS
Ce petit bouquin de poche, écrit par un classique comme
l’écrivain francais Jules Romains (1895-1972), produit en 1923, et qui a été
aussi mise en scène en plusieurs occasions, va nous montrer comme la vie d’un médecin
dans un petit village peut changer si il sait s’y prendre comme un bon
commercant ou, on dirait aujourd’hui, avec un bon marketing. Ce marketing tout
d’abord sera son Tambour, la personne qui se charge dans le pays de faire
connaître les nouvelles.
Le docteur Knock achète la place à son confrère
Parpalaid, qui avec une vielle guimbarde, va le chercher à la gare, découvrant
l’un qu’il a été roulé par le docteur qui souhaite partir à Lyon, et M. parpalaid,
se render compte que l’expérience en médecine du docteur Knock est plutôt un
peu légère.
Après trois mois d’exércise du métier, M.
parpalaid réviens se faire payer son échéance par Monsieur Knock, et se rends
compte que tout marche magnifiquement, meme encore pour le pharmacien monsieur
Mousquet et aussi pour le petit hotel de madame Rémy, où les maladies viennent
en attendant d’être guéris ou de connaître leur état par le docteur Knock.
Le docteur knock, contrairement
la placidité de son prédécesseur, les lundis matin, jour du marché au villaje,
donnera une consultation gratuite, ce que lui va permettre que l’ignorance et l’avarice
de ses voisins de quelconque catégorie sociale, le visitent et il puisse
connaître mieux que le Trésor Public, la capacité économique de chacun de ses
prochains patients.
Quand le docteur Parpalaid se
rends compte que la méthode du docteur Knock pourrait lui faire gagner de l’argent
à Lyon, où lui se trouve maintenant péniblement, et lui propose d’èchanger le
poste, le docteur Knock lui montre que ses voisins et la plupart des gens de la
contrée ne sérait pas d’accord à avoir de nouveau M. parpalaid entre eux et
perdre le magnifique docteur Knock, qui a sû leur donner des solutions en
médicine, en connivence certaines avec le pharmacien.
Au fond il s’agit d’une classe sur
les manigances que, dans ce cas, se jouent grâce a notre ignorance et notre
propre détresse face à la vie et la mort.
C'est dans les oeuvres completes de Monsieeur Azana, Président de la II. République espagnole, que un jour je pus connaître le plaisir qu'il avait dans la lecture de Jules Romains, surtout "Les hommes de bonne volonté", ce qui má toujours mis en quête de mieux connaÌtre aussi à mon tour, ceux qui avaient fait les délices de ce grand espagnol et de ce grand intelectuel, qui tristement est encore enséveli à Montaubant et qui dévrait réposser en Espagne.
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