viernes, 10 de noviembre de 2023

LE MONDE DE SIMENON. Bref résume du livre.

 

LE MONDE DE SIMENON


Dans le Monde de Simenon, publié par l´éditorial Le Monde et la présentation de Pierre Assouline, nous nous retrouvons avec un des maîtres de la littérature francaise dans le domaine de detectives et, surtout, avec trois de très intéressants romans comme Le Petit Homme d’Arkhangelsk, Maigret à Vichy et Maigret et Monsieur Charles.

Dans chacun de ses trois livres, ce qui prédomine c’est la solitude des principaux personnages, même leur détresse et aussi, un point de respect pour les criminels, qui seront montrés par ce réputé auteur liègois, donc francophone et belge, comme acharnés par une faute qu’ils n’auraient jamais souhaité perpétrer, mais qui finalement termine  pour les enchaîner dans le gouffre des soupcons et, ce qui est pire, être coupables d’avoir commis un crime ou de l’avoir incité.

Dans le Petit Homme d’Arkhangelsk c’est l’histoire d’un pauvre homme, Jonas Milk, venu à Bourges, bouquiniste à la Place du Marché, et né en Russie, encore qu’arrrivé en France tout petit, qui est une bonne personne, fort maladroit dans le ménage de sa femme, la belle Gina,  et pas doué d’un grand sex- appeal pour les femmes, ailleurs que Gina est dépuis son ado,  une cocotte bien connue de tous ceux du marché avec lequels elle avait couché et encore marriée, bien de fois, sous differrents mensonges, partait quelques heures pour jouir de nouvelles conquêtes.

Un jour sa disparition plus prolongée et le soin que son mari ténait a que personne puisse douter de qu’elle était allée visiter une amie, términera pour condamner Jonas de l’absence et doutes sur le sort de Gina.

Jonas qui a ce moment se voit détesté par ses voisins de toute la vie, en le montrant coupable d’avoir mal géré son ménage et de l’absence de Gina, est montré comme coupable, raison pour laquelle, dans la cour de sa maison, il se pendra, au moment où l’inspecteur se rendra compte de l’innocence de Jonas et de l’amour qu’il ressentait, en silence, pour Gina et sans lui faire des reproches pour sa conduite dépravée.

Avec Maigret à Vichy, nous sommes face à l’inspecteur divisionnaire parisien qui, par son ami médecin Monsieur Pardon, est envoyé à Vichy pour prende un mérité repos, en compagnie de sa femme, et en prenant les eaux des differentes souches, et dans son contumace observation se rendra compte d’une dame fort distinguée, connue comme la dame au lilas, par sa tenue, madame Lange, qui sera trouvée étranglée, sans que rien lui soit volé. Peu à peu, tirant de la ficelle et avec l’apparition d’une soeur dix ans plus jeune, Francine Lange,  Maigret avec le detective de Clermont-Ferrand, le responsable de la región, trouvera le vrai coupable, un Richard bien marrié, et qui avait été escroqué par les deux soeurs sur le compte d’un petit fils qui était décedé à deux ans, quand c’est durant quince ans qu’il payait des grandes sommes à Hélene Lange, soi-disant destinées à son fils bastard, ce que accidetenllement, à Vichy, il avait su ce n’était pas vrai.

Un naif riche homme d’affaires qui était tombé par hazard sur deux orphelines que par l’accouchement de Francine, fût objet de deux escrocs, qui la petite à la Rochelle et l’ainée à Vichy, avaient sû se donner la grande vie sur le dos de Monsiweur Pélardeau.

Et finalement, Maigret et Monsieur Charles, c’est la vie d’un notaire enfantin qui occupe sa vie hors du bureau derrière d’entraineuses de cabarets, sous le surnom de Monsieur Charles, quand son vrai nom est Sabim-Levesque, marié avec celle du sobriquet Kika, qui après un mois de disparition est trouvé son cadavre flottant sur la Seine. Une fois encore, Georges Simenon, avec la grande trouvaille de l’inspecteur Maigret, nous montrera pas à pas deux vies cassées dépuis même le mariage et une guerre sourde dans le couple, avec des provenances culturelles et des prétentions dans chacun fáciles d’aboutir à une rélation de dispute et rejet permanent, qui finit par un assasinat et une veuve qui terminera ses jours en prison pour ordonner l’assasinat de son mari, le riche notaire frivole.

Belles histoires que Georges Simenon sait parfaitement déployer, de manière que le lecteur n’arrive pas à connaître le denouement que lorsque le dernier châpitre soit arrivé et sans que dans son parcours les pistes soient vraiment visibles, encore que assasin et victime sont vus par accident comme deux pauvres marionettes du destin des hommes et, pourtant comme lecon finale, déchargés d’une culpabilité extreme.

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